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15 décembre 2010 3 15 /12 /décembre /2010 14:46

In greentechagenda 21, chapter, 34 is concerned with the argument of the transfer of technologies compatible with the environment ESTS. The succes of the transfer of EST technologies implies the transfer of knowledge and assistance for the utilisation the management and applicsation of these technologies. Based on experience so far acquired the result is being obtained with the integration on the high technology proceeding from abroad with local knowledge and the low technology found in the country of use. the transfer is reinforced when the direct foreigh investment is significantly higher than overseas development aid.

the transfer requires both the financial support of donor countries and development agencies and also initiatives and investment by the private sector. The most efficient way to stimulate private companies to commit themselbes to so called ecoffiency and clean production is to convinve them that investmente in this sector will result in greater market competitiveness.

there is enormous potential for dévelopment in the field of spreading information about ESTs, and the existence of a network of information and assessments of ESTs takes on particular significance in the realm of professionnal and capacity building in receiver countries.

Financial recovery can be supported and accompanied by the integrated environmental policies as a factor of internal quality and external competition of the country system in the community context with a significant impact on the employment situation.

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12 octobre 2010 2 12 /10 /octobre /2010 16:35
REPUBLIQUE DU CAMEROUN REPUBLIC OF CAMEROON ARPEDAC _____________ Communiqué de Presse ._______________ L’objectif 1 des OMDs en disposant de suffisamment d’eau potable et d’eau adéquate pour couvrir les autres besions familiaux, agricoles et économiques, on facilite l’éradication de la pauvreté et de la faim. Et selon Les objectifs 2et 3 des OMDs se sont presque toujours les femmes et les fillettes qui font la queue pour aller chercher de l’eau. Cette activité de longue haleine empêche les femmes de participer à des travaux productifs et les fillettes d’être scolarisées. L’accès à l’eau et à l’assainissement est fondamental, tant pour l’émancipation des femmes que pour l’égalité en matière d’éducation. Au regard des objectifs 4,5,6 des OMDs, chaque année, les maladies d’origine hydrique font plus de 5 millions de victimes. L’eau insalubre est la première cause de décès chez les jeunes enfants. L’atteinte de ces objectifs est totalement tributaire d’une amélioration de l’accès à l’eau et à un assainissement. Ainsi compte tenu de l’objectif 7 de OMDs, la cible concernant l’eau et l’assainissement figure officiellement dans l’objectif global lié à la durabilité environnementale. L’eau joue également un rôle essentiel dans le maintien de la biodiversité des écosystèmes du monde. L’ARPEDAC a l’honneur d’informer l’opinion publique nationale et international qu’ en sa qualité d’ Association à but non lucratif basée à Yaoundé 2 dont le rôle est de promouvoir la recherche et le développement dans les domaines des énergies propres et renouvelables afin d’alimenter les ménages urbains et ruraux les plus démunis du lancement de son projet pilot « Eau Potable pour Tous au Camer : plus propre plus sûre et moins chère». 1,1 milliards de personnes n’ont pas accès à l’eau potable et 2,4 milliards sont privés de système d’assainissement. D’ici 2015, les objectifs du millénaires fixés par l’ONU prévoient de réduire de moitié le pourcentage de la population mondiale privée d’eau potable. Au Cameroun environ 65 % de la population sont privée d’accès à l’eau potable. Conséquences l’épidémie du Cholera qui une maladie hydrique ne cesse du gagner le terrain au Cameroun. Alors que toutes les Régions sont en alerte 421 décès ont été déjà enregistrés sur près de 6 361 cas cumulés. Parmi les mesures à mettre en œuvre, le Premier Ministre présidant une réuni Inter Ministériel sur l’épidémie, préconise une « Renforcement de la Veille sanitaire dans toutes les régions », et la mise en place dans les plus brefs délais de vastes campagnes de sensibilisation de populations. Il a également évoqué un pré-positionnement des médicaments, une désinfection des moyens de transports et un contrôle accru des forages de plus en plus répandu dans le pays. L’ARPEDAC en ce qui lui concerne et dans le dans le cadre de son Projet Pilot, aidera les familles démunies à l’accès à l’eau potable par le creusage des puits améliorés de grand diamètre, et à fabriquer les filtres bio sables, pour filtrer et traiter l’eau souillés. L’ARPEDAC entend aussi lors de la mise en œuvre de son Projet Pilot, faire la recherche sur les besoins énergétique des communautés, des PME, et organisation ; assister les groupes, clubs, associations sœur, gouvernement local ou institutions à développer des stratégies et des politiques d’énergie durable et de sensibiliser/informer en technologie d’efficacité énergétique par exemple les ampoules à faible consommation , foyer amélioré, bio gaz etc. Note aux éditeurs : l’ARPEDAC remercie toutes les âmes de bonne volonté qui pourront participer et supporter techniquement , physiquement ou financièrement ce projet noble qui sauvera des vies. L’ARPDAC est à votre disposition pour transformer vos participations en actions concrètes sur le terrain. Car les résultats attendus sur les suivantes : creuser 4 puits améliores avec pompes solaires et stockages de 10m2, produire et distribuer 100 biosables filtres. Renforcement des capacités à l’hygiène et assainissement et l’utilisation des filtres de manière durable de 50 familles et 10 enseignants d’écoles bénéficiaires. Formation de 10 jeunes (5 filles et 5 garçons) comme techniciens pour la fabrication des filtres et la vente des filtres biosables. Collecter 6,835,000 F CfA pour financer le projet sur une durée de 12 mois . Un suivi pendant un période d’un an des puits et des filtres distribués pour évaluation et amélioration continue et rédiger un rapport final des résultats et des leçons tirées à mettre la disposition du public clôtureront les activités de Ce Projet Pilot
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11 octobre 2010 1 11 /10 /octobre /2010 10:45

 

 

Plus de 700 spécialistes des changements climatiques devraient participer au Forum pour le développement de l'Afrique qui aura lieu du 10 au 15 octobre 2010 sur le thème «Agir face aux changements climatiques pour promouvoir un développement durable en Afrique».
Le Forum, qui est organisé conjointement par la Commission économique pour l'Afrique (CEA), la Banque africaine de développement (BAD) et la Commission de l'Union africaine (CUA) au Centre de conférences des Nations Unies à Addis-Abeba, portera essentiellement sur les stratégies d'adaptation aux effets des changements climatiques grâce à la prise de mesures efficaces en matière de politiques, de stratégies, de programmes et de pratiques.

Selon M. Josue Dione, Directeur de la Division de la sécurité alimentaire et du développement durable à la CEA, laquelle dirige l'organisation du Forum, le continent contribue pour seulement 3,8 % du total des émissions de gaz à effets de serre et pourtant les pays africains sont parmi les plus vulnérables aux changements climatiques dans le monde. «L'éminence des incidences et la menace que fait peser les changements climatiques dans le monde sur le développement durable de l'Afrique rend le Forum nécessaire et d'actualité,» déclare M. Dione.
"Il n'y a pas si longtemps, le Gouvernement gambien a dépensé des millions de dollars pour reconquérir des plages d’une importance cruciale pour le tourisme du pays. La mer a repris ses droits, les plages sont reconquises et le bord de mer est désormais à quelques mètres des nombreux hôtels». M. Dione note également que des schémas météorologiques inhabituels déconcertent les agriculteurs et nuisent à la productivité dans de nombreux pays africains.
Des données fournies par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) montrent qu'un quart de la population africaine vit à moins de 100 km des côtes et que les villes les plus importantes du continent se trouvent sur le littoral et sont donc très vulnérables à l'élévation du niveau de la mer, à l'érosion côtière et aux phénomènes extrêmes. Les participants au Forum auront donc à coeur de traiter les problèmes qui se multiplient en adoptant une démarche dynamique et concrète pour débattre et tenir compte des recherches existantes.
M. Dione avance que, bien que le climat soit en train de changer et que nous ne pouvons pas arrêter cette évolution, nous devons nous adapter à ses incidences. Il fait remarquer que l'adaptation ne signifie pas éliminer les pollueurs historiques. «Cela veut seulement dire que, puisque les effets sont plus nocifs pour l'Afrique, les Africains ne doivent pas attendre la prochaine Conférence des parties pour prendre des mesures».
Les activités précédant le Forum, prévues du 8 au 10 octobre, auront pour objet de débattre des recherches et des initiatives récentes des chercheurs, des décideurs et autres parties s’intéressant aux changements climatiques. Les débats porteront sur les changements climatiques et la sécurité, l’ampleur de l'évolution climatique, les forêts, la gouvernance et les changements climatiques et l'agriculture et le développement rural. Un cours de formation sur les moyens d'informer sur la question des changements climatiques sera organisé à titre expérimental à l’intention des médias africains lors du Forum et se poursuivra dans les mois suivants.
Outre les séances plénières et les manifestations parallèles, le Programme d’information climat pour le développement (Climdev-Afrique) et le Centre africain des politiques sur le climat (CAPC) seront lancés lors d'une manifestation présentant des initiatives sur les changements climatiques venant de divers parties prenantes. Des musiciens de renommée mondiale, notamment Ras Kimono du Nigéria et Eric Wainaina du Kenya, se joindront à l'Éthiopien Jonny Raga pour donner une expression musicale au message d'adaptation aux effets des changements climatiques lors d'un concert public qui aura lieu le 15 octobre.

Il est prévu que d'ici au 15 octobre, les accords auxquels les participants parviendront pendant ADF VII renforceront la participation de l'Afrique aux négociations internationales sur les changements climatiques. Ce Forum devrait permettre aussi d'accroître la sensibilisation aux préoccupations et aux priorités de l'Afrique dans le régime international sur les changements climatiques de l'après-2012 et de dégager un consensus chez les parties prenantes.
Le Forum pour le développement de l'Afrique est une initiative conjointe de la CEA, de la BAD et de la CUA, qui devrait faire avancer un programme de développement à l'initiative de l'Afrique. Il offre une occasion unique de familiariser les décideurs africains avec les meilleurs avis en matière de politiques, fondés sur des travaux d'analyse dignes de foi et des expériences pertinentes.
Le Forum pour le développement en Afrique qui a gagné en reconnaissance, est devenu une instance utile où débattre de façon éclairée des grands problèmes de développement africain et parvenir à des consensus, et où se mettre d'accord sur les priorités et les stratégies de mise en place aux échelons nationaux, sous régionaux et régional.
Les six premières éditions du Forum ont toutes contribué à lancer de nouvelles initiatives et activités ainsi que de nouvelles orientations qui ont eu des incidences de vaste portée.

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7 octobre 2010 4 07 /10 /octobre /2010 10:05
La société MRS Power Cameroon vient de signer une convention avec l’État pour l’expérimentation de la production de l’électricité à partir de courants marins au Cameroun. L’opérateur, déjà présent dans le pays à travers la distribution du carburant, financera les études de la phase pilote. L’État du Cameroun, pour sa part, s’engage ainsi à acheter l’énergie ainsi fournie sur une période de 25 ans. Baptisé Tidal Wave Energy, le procédé en voie d’expérimentation, selon ses promoteurs, consiste à convertir les courants des océans et cours d’eau en énergie électrique renouvelable, propre, peu coûteuse et non polluante. Source : APAnews
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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 11:12
Le document, publié par Care, procure un cadre d’analyse de la vulnérabilité et de la capacité d’adaptation au changement climatique au niveau communautaire. « Analyse de la Vulnérabilité et de la Capacité d’adaptation au Changement climatique - Manuel » Care 52 pages juin 2010 Au travers d’une approche participative, ce manuel vise à faciliter la compréhension des implications du changement climatique sur les vies et les moyens de subsistance des personnes et des communautés que Care soutient. La combinaison des connaissances locales et des données scientifiques permet d’expliquer aux populations les risques climatiques ainsi que les stratégies d’adaptation. Ceci rend possible la création d’une structure de dialogue au cœur des communautés et également entre les communautés et les autres parties prenantes. Il en résulte des bases solides pour l’identification des stratégies pratiques à mettre en place pour faciliter l’adaptation communautaire au changement climatique.
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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 14:45
Les coopératives sont, en principe, des associations d´individus indépendants qui poursuivent un but commun. Cet objectif peut être de nature économique, mais ne l´est pas obligatoirement. À l’origine, il s´agissait de coopératives d´ouvriers, mais de nos jours, il existe également des coopératives d´habitations et de consommateurs, des banques coopératives, des coopératives de ventes au détail et d´autres sortes de coopératives. Pour les projets d´énergies renouvelables dans des communautés de tailles variables, le modèle coopératif offre des avantages ajustés/ adéquats. Les coopératives se fondent sur sept principes tels que disposés par l´Alliance internationale des coopératives dans leur déclaration sur l´identité des coopératives. Ceux-ci sont : 1) une adhésion volontaire, 2) un contrôle démocratique exécuté par les membres, 3) une participation économique des membres, 4) autonomie et indépendance, 5) éducation, apprentissage et information, 6) une coopération entre les coopératives, 7) le souci de la communauté. Dans le contexte des énergies renouvelables, le contrôle démocratique à travers les membres, la participation économique et les profits pour tous les membres sont particulièrement intéressants. Au contraire d´une compagnie publique, où les votes se font sur la base du nombre de parts détenues, dans une coopérative, le nombre de votes n´augmentent pas avec la contribution au capital coopératif. Chaque membre a le même pouvoir de décision quel que soit le montant d´argent qu´il met dans l´entreprise : un vote. C´est ce qui rend les coopératives très démocratiques et en font une méthode pour empêcher la concentration de pouvoir en fonction du poids économique. D´autre part, le retour d´économie se fonde sur la taille de l´investissement initial. Mais contrairement à des investissements réguliers, cet investissement va généralement dans un projet dont l´investisseur a aussi une utilisation directe. Dans le cas d´énergies renouvelables, cela signifie être un consommateur de l´énergie produite autant qu´un investisseur des installations et être quelqu´un qui tirera profit d´une rentabilité finale. Les coopératives ont été testées, avec succès, comme modèle économique pour des projets d´énergies renouvelables à relativement grande échelle. The Energiegenossenschaft Odenwald eG en Allemagne, en est une parmi d´autres, et à son échelle, il ne s´agit pas d´un simple projet entre voisins. Certains fournisseurs d´installations d´énergies renouvelables s´organisent également en coopérative. Les installations d´énergies renouvelables dans les endroits densément peuplés sont rarement de petits projets, et parfois l´investissement requis peut excéder ce que les personnes privées sont capables de financer malgré la mise en commun de leurs ressources ; dans ces cas-là, les coopératives peuvent souscrire à des prêts bancaires comme à d´autres sortes de financements. Dans les petites communautés des endroits non électrifiés, les financements disponibles pour les projets d´énergies renouvelables pourraient être rares même si l´installation en question n´est pas très grande. Mais même avec l´ajout d´un financement extérieur, le modèle économique d´une coopérative donne une chance à qui veut y participer. Au-delà des ressources financières, une entreprise commune, capable d’avoir recours aux compétences et expériences des gens qui sont à la fois les investisseurs et les utilisateurs au bout de la chaîne, dispose de ressources plus larges que celles dont disposeraient de simples projets commerciaux. Là où la communauté locale a les ressources et la structure locale pour organiser son projet d´énergie de cette façon, le modèle de la coopérative peut être une option intéressante.
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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 14:35
Le projet SustainergyNet a mis en ligne un outil interactif destiné à faciliter la participation des OSC (Organisations de la Société Civile) dans les politiques de recherche et le développement de l’énergie durable. L’accès est libre et gratuit, à l’adresse www.sustainergyweb.eu. Cet outil en ligne permet de : Découvrir la communauté des acteurs de l’énergie durable grâce à une carte interactive : Trouver des informations de base sur les acteurs et les évènements Rechercher des profils par catégories ou mots-clé Faire un zoom sur la carte pour localiser des organisations et acteurs près de chez vous. Créer un propre profil d’acteur et annoncer des évènements : Accroitre sa visibilité sur Internet Mettre à jour des profils déjà établis Consulter une série d’articles sur des sujets d’énergie durable : Fournissant des aperçus utiles sur les questions et options d’énergie durable Facilitant la mise en place de vos propres initiatives Permettant de contribuer et de partager vos propres connaissances et expériences dans des articles wiki. Discuter sur le développement de l’énergie durable dans le forum Partager des informations utiles sur la mise en œuvre de projets d’énergie durable Apprendre de l'expérience des autres pour démarrer votre propre initiative Contribuer au partages de bonne pratiques
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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 14:30
La 4ème édition du Salon International des Énergies Renouvelables et de l’Environnement en Afrique aura lieu du 27 au 30 avril 2011 à Dakar (Sénégal). Ce 4ème Salon qui sera un cadre de promotion et d’échange pour les différentes filières des Énergies Renouvelables et sous secteurs de l’environnement regroupera les professionnels, les chercheurs, les autorités publiques, les représentants d’organismes internationales, les bailleurs de fonds, les ONG et comprendra quatre (4) volets : Exposition Colloque Rencontres de partenariat Espace de démonstration Les filières ciblées sont : Biocarburant, biogaz, biomasse, bois énergie, éolien, géothermie, hydraulique, solaire, production et distribution, systèmes d’économie, recherches, études, développement, investissement, encadrement, etc. Métiers liés à l’environnement (récupération, tri, recyclage des déchets, épuration eau et air), équipements, technologies et services de l’environnement, ONG, etc. --------------------------------------------------------------------------------
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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 14:28
. La Banque africaine de développement (BAD), en coopération avec la Commission de l’Union africaine (CUA) et la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA), sera l’hôte de la première Semaine africaine de l’énergie, qui se tiendra du 1er au 5 novembre 2010 à Maputo, au Mozambique. La semaine aura pour thème : « Le développement des infrastructures énergétiques dans le contexte des changements climatiques ». Les objectifs généraux de la Semaine africaine de l’énergie sont d’atteindre une coordination plus efficace des actions menées en faveur de l’accès à l’énergie et le développement du secteur de l’énergie en Afrique ; et d’accélérer les progrès à travers le dialogue et les partenariats pour accroitre les investissements dans le secteur énergétique africain. La semaine africaine de l’énergie sera organisée conjointement avec le Forum panafricain d’investissement et la Conférence de l’Union africaine des ministres de l’énergie. L’événement sera constitué de séances plénières et de sessions en petits groupes, d’activités parallèles et d’une table ronde ministérielle. Une exposition de technologies d’énergie propre favorisant le développement durable sera également organisé. La séance plénière comprendra des discours de dirigeants du secteur et des présentations d’experts. Le public cible visé comprend les décideurs politiques en Afrique, les partenaires au développement du secteur de l’énergie, les acteurs nationaux et régionaux associés au développement du secteur énergétique, les investisseurs, le secteur privé, les experts en énergie de la recherche et développement (R & D), et les parties prenantes. La semaine africaine de l’énergie sera un événement récurrent, qui pourrait devenir un mécanisme permettant d’évaluer les progrès réalisés dans le secteur. La semaine favorisera aussi le dialogue et le partage des connaissances sur les questions de développement de l’énergie en Afrique.
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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 14:25
.Le Conseil d’administration du Fonds africain de développement (FAD), le guichet concessionnel du groupe de la Banque africaine de développement (BAD), a approuvé le 15 septembre 2010 un prêt de 31,64 millions d’unités de compte (47,79 millions de dollars EU) destiné au financement d’un projet de renforcement et d’extension des réseaux électriques au profit de 423 localités du Cameroun. Le coût total du projet est estimé à 58,99 millions d’unités de compte (80,07 millions de dollars EU). Le projet permettra de renforcer les performances techniques du réseau existant et d’étendre la fourniture de l’électricité à 423 nouvelles localités jusque-là non desservies. L’extension de la ligne haute tension, la réhabilitation et l’extension du réseau moyenne et basse tension permettront d’augmenter la capacité de desserte par le réseau national d’une plus grande couverture du territoire, notamment les régions du sud du pays, où l’on s’attend à un regain de l’activité économique, poussé par le développement de projets agro-industriels et de projets du secteur touristique. Le secteur de l’énergie du Cameroun, comme celui de la plupart des États africains, est confronté à des difficultés d’ordre technique et structurel qui font l’objet de l’attention du Gouvernement et des partenaires au développement du pays. Dans le cadre de la vision de développement à l’horizon 2035, le Cameroun a élaboré une stratégie de réduction de la pauvreté qui ambitionne de faire du Cameroun un pays émergent. Sans infrastructures énergétiques adéquates, ces objectifs seront difficilement atteints, car la disponibilité de l’énergie est une condition essentielle à l’amélioration de la croissance et de la compétitivité économique. A ce jour, le taux d’électrification qui est de 22% reste faible et constitue un frein à la production de biens et services. En milieu rural, ce taux n’est que de 3,5%. L’objectif du Gouvernement est de porter le taux d’électrification du pays à plus de 48% et le taux d’électrification rurale à plus de 20% à l’horizon 2020.
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